Le NEFLE pour l'élémentaire
Nous allons voir comment les écrans interactifs permettent aux enseignants de développer les capacités des élèves, quelles que soient leurs options pédagogiques.
La pédagogie frontale
Une des fiertés des maîtres se réclamant de la pédagogie frontale est de gérer leur séance au millimètre. Ils commencent en haut à gauche du tableau à craie et terminent en bas à droite avec un point qui marque la fin de leur démonstration et la fin de la séance.
Cela demande une excellente maîtrise et une excellente représentation spatiale pour faire entrer toutes les données dans le seul espace du tableau.
Cela n’est pas à la portée de tous les enseignants. Lorsqu’il n’y a plus de place sur le tableau, il faut faire de l’effaçage, ce qui est souvent mal vécu par les élèves les plus lents.
C’est là que l’écran interactif apporte un grand progrès. Quand il n’y a plus de place, on peut zoomer en arrière et dégager ainsi un nouvel espace pour écrire ou, encore mieux, on peut créer une nouvelle page, ce qui permet à l’enseignant de découper sa séance en parties pertinentes.
Le magistral, magistral, devient à la portée d’enseignants moins performants.
Les pédagogies actives, un grand avantage de l’écran interactif
Cependant, comme les époux Freinet avaient fait entrer des outils innovants (imprimerie, projecteur de cinéma…), les enseignants qui se revendiquent des méthodes actives (celles où les élèves sont acteurs) ont fini par découvrir que c’écran interactif était un outil qui n’imposait pas un enseignement frontal, car il permettait de mobiliser tous les élèves.
En plus de l’affichage numérique que propose l’écran interactif, ce dernier améliore la manière dont les documents, en particulier les contenus multimédias et images, sont présentés pour être visibles en plus grande taille par tous les élèves. La capacité d’analyser des documents animés et sonores offre la possibilité de maintenir l’attention des élèves sur des intervalles de temps plus étendus, à condition que l’enseignant exploite l’outil de manière plus dynamique et interactive que les supports traditionnels.
Deux élèves en primaire interagissent de façon amusante et en simultané sur un écran interactif tactile
Les écrans interactifs modernes, comme ceux d’Easypitch, acceptent plus de 30 points de contact, ce qui permet à plusieurs élèves d’intervenir en même temps dans un travail de groupe créatif. Les possibilités de réglage en hauteur des écrans installés sur des supports spécifiques permettent d’adapter le même matériel aux différentes pédagogies.
Les supports, la clef pour une classe réussie
Ces deux extrêmes des pratiques pédagogiques se déclinent bien sûr à tous les degrés et il convient donc que les solutions techniques proposées puissent s’adapter à chacun.
Un coup de flash
En primaire, les élèves sont en croissance rapide. Du CP au CM2, il y a une grande différence de taille. Dans les classes où l’enseignant intervient en priorité sur l’écran ou pour les élèves les plus âgés où la taille est plus proche de celle de l’enseignant, on peut adopter une solution d’écran fixée au mur. Elle sera disposée à une hauteur qui permet aux élèves du fond de la classe de ne pas être gênés par les camarades assis plus en avant.
Le système FLASH, associé à un écran Easypitch de bonne taille, par exemple 75 pouces qui est une taille adaptée à une salle de classe primaire, est un outil très pratique.
Il est complété par deux panneaux de tableau blanc fixés au mur et qui permettent lorsque les tableaux FLASH sont fermés d’avoir un tableau blanc tryptique de 4 m de large.
Le système Flash offre des panneaux de tableaux blancs coulissants. Ils offrent une surface d’écriture au feutre ou d’affichage étendue, mais ils peuvent aussi protéger l’écran lorsqu’ils sont fermés
Le support BalanceBox permet le réglage en hauteur de l’écran avec deux doigts. Ici, il est sur un pied mobile, ce qui multiplie ses usages.
Prenez de la hauteur
Pour les enseignants qui ont des classes plus polyvalentes, un système de réglage en hauteur est indispensable.
L’écran est alors installé sur un support réglable en hauteur. Cela permet aux élèves de petite taille d’utiliser confortablement l’écran, mais aussi à l’enseignant qui n’aura pas à se baisser.
Lorsque l’écran doit être vu de loin, il est précieux de pouvoir le monter afin de dégager la vue des élèves qui sont assis au fond de la classe.
Lorsque ce système est monté sur roulettes, c’est la solution idéale pour les enseignants qui pratiquent les pédagogies actives. Il sera toujours à la hauteur et au bon endroit.
Soyez flexibles
Pour répondre à cette diversité de fonctions, nous vous présentons un dernier exemple de solution qui consiste à proposer un support réglable en hauteur avec la montée et la descente de l’écran et des volets de tableau blanc FLEX.
Cette solution apporte donc le meilleur des deux mondes, écran interactif et volets de tableau blanc en permettant le réglage en hauteur de ces derniers.
Le réglage en hauteur est électrique. Le support, une colonne, peut-être installé contre un mur, ce qui est la situation la plus courante, mais il peut également être monté sur roulette. Cette dernière option est sans doute la solution la plus polyvalente.
Comme pour le système FLASH, les volets FLEX rabattus sur l’écran le protègent.
Le système EasyFLEX permet d’avoir un ensemble, écran interactif et panneaux de tableau blanc réglable en hauteur. On peut l’avoir fixe (à gauche), ou mobile (à droite).